Résistance 2050 d’Aurélie Jean et Amanda Sthers

Résumé :

Si 80 % de la population était équipée d’une puce, que feriez-vous ?

En 2050, une grande partie des pays du globe encourage sa population à s’équiper d’une puce cérébrale qui augmente les capacités intellectuelles de chacun, prévient les maladies, anesthésie la douleur, apaise, réveille, endort – qui transforme les individus en ordinateurs… et les met donc à risque d’être piratés, d’échapper à leur propre raison. Cette invention a été couronnée d’un Nobel, elle est le fruit des recherches d’un couple français, Ash et Chloé. Lui est proche du pouvoir, elle se met à douter. Car le visage qui incarne la résistance française est celui d’Oona, une artiste que Chloé a connue et aimée. Quand les deux femmes se rencontrent, le pays est au bord de la guerre civile. Le sud de la France et la Bretagne sont des zones libres, prêtes à en découdre pour protéger leurs enfants. Mais le gouvernement a d’autres préoccupations : il semble qu’une force non identifiée s’approche peu à peu de la Terre…

Amanda Sthers et Aurélie Jean se projettent dans un roman dystopique où les craintes qui naissent aujourd’hui sont incarnées et poussées à leur apogée.

Un rythme frénétique et des personnages jubilatoires.

Un roman haletant qui explore les dérives du monde de demain !

Les auteurs :

Aurélie Jean :

Aurélie Jean navigue depuis plus de 15 ans dans la modélisation mathématique et la simulation numérique appliquées à la médecine, l’ingénierie, l’éducation, l’économie, la finance ou le journalisme. Après 9 ans passée aux USA, elle vit depuis 2018 entre les États-Unis et la France où elle partage son temps entre le conseil, la recherche, l’enseignement continu et les contributions éditoriales. Elle dirige « In Silico Veritas » l’agence de conseil et de développement en data et algorithmique qu’elle fonde en 2016. Egalement Chief AI Officier et co-fondatrice de DPEEX14, une start-up deep tech en intelligence artificielle et en médecine de précision spécialisée  appliquées au cancer du sein. Docteure en science numérique et entrepreneure, Aurélie Jean est une des figures de la science algorithmique. Auteure de « De l’autre côté de la Machine » et chroniqueuse pour « Le Point ».

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Amanda Sthers :

Ecrivaine, scénariste, auteur de pièces de théâtre, de sketches et de chansons.

Son premier roman, « Ma place sur la photo » est un livre autobiographique. Elle publie un second roman « Chicken Street », roman très bien accueilli par la profession et le public.

En 2006, avec la pièce de théâtre « Le vieux juif blonde », Amanda se fait vraiment connaître tout en continuant d’écrire des livres de manière régulière pour les adultes et les enfants.

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Mon avis :

Deuxième titre que je découvre des Editions de L’Observatoire que je remercie pour l’envoi de cette lecture dans le cadre de la Masse-Critique de Babelio. Je souligne le travail soigné (pas de coquilles…) de cette maison d’édition. Passionnée par le numérique, je me suis régalée à découvrir cette dystopie si bien écrite, très réaliste et pertinente.

18 mai 2050.

Libérés de leurs puces, la population est démunie et panique.

Quelle menace les attends ?

J-60.

Un fait divers qui dégénère tel un raz de marée qui emporte tout sur son passage. Elena et sa famille vivent en zone blanche, une zone libre qui refuse l’implantation de la puce cérébrale qui contrôle toute la vie et les émotions des équipés (guérit les maladies dégénératives, contrôle les sentiments, la nourriture, plus d’écoles, une vie programmée…). Une puce dans le cerveau qui divise la population et dont Elena, une adolescente non pucée fut la victime d’un enjeu politique.

J-58.

Chloé Lénor, scientifique a a rendez-vous avec Oona Fourcade pour une mission gouvernementale sous haute surveillance bien loin des retrouvailles après 10 ans sans s’être vues à cause de leurs positions différentes sur la puce. Pucée et non pucée, lavage de cerveaux contre liberté de penser par soi-même, les deux femmes doivent trouver une solution sur l’affaire Elena. Inventeurs de la puce cérébrale dont le but premier était purement médical, Chloé et Ash n’ont plus aucun contrôle sur leur technologie dont l’Etat français compte en détourner le but premier pour ses propres intérêts.

L’accélération de l’implantation de puces entraîne la révolte contre cette dictature. Le 14 septembre 2036, 312 personnes furent tuées et plus de 1000 blessées. A partir de ce moment-là, les non équipés furent mis à l’écart de la société. Des pays s’opposèrent à la puce tandis que le sud de la France devient une zone de résistance avec pour symbole Oona. Le projet de toute une vie a détruit leur couple dans leur façon de voir le monde. Devenu ministre de la Santé, Ash doit faire en sorte que toute la France soit pucée. Ash, Oona et Chloé ont des secrets comme Ash qui enfreint ses propres règles en faisant des combats clandestins, Oona et son enfant miracle…

Thomas Juhel est le directeur scientifique d’Hyperloop mais surtout un redoutable hacker qui fait ce qui lui semble juste pour son pays. 

J-57.

L’invention de la puce étant censé éradiquer une maladie et non devenir une arme de contrôle gouvernemental. 

A Marseille, l’Enfant sait que des êtres invisibles attendent de lui quelque chose.

J-56.

En janvier 2041, un virus mortel touche les enfants et les adolescents. Un piratage mené par la Corée du Nord qui met la France à terre, endeuillée de ses enfants. Un crime contre l’humanité étouffé par l’argent et le pouvoir. Le centre américain de recherches et d’intelligence extraterrestre (SETI) amène Ash à sa première réunion de crise. 

Une menace extraterrestre menace la France les mettant tous en danger.

J-53.

Oona s’entretient avec le pape Innocent XIV et va se rendre compte de la traîtrise jusque dans les plus hautes sphères de Dieu.

J-39.

Ash et Chloé cherchent ce que la puce leur a enlevé.

J-33.

Dans le sud de la France, la communauté musulmane vit sous l’égide de l’imam. Une communauté où les femmes sont des usines à bébés pour la révolution.

J-30.

La révolte gronde tandis que le monde sombre dans le chaos.

Jour J.

Quand Ash se rend compte des manipulations, il est trop tard pour se rendre compte de son aveuglement. La troisième intelligence est là. Il va falloir résister tous ensemble, sans technologie.

Que se passerait-il si les puces tombaient en panne ?

Que serait un monde dépourvu de la moindre émotion ?

L’actualité n’est que le début de ce qui pourrait advenir dans le futur ! Lire la suite

Pourquoi la Corée ? d’Ophélie Surcouf

Résumé :

​Le rêve coréen par ceux qui l’ont réalisé, ceux qui veulent le vivre et ceux qui en sont revenus.

Comment, en l’espace d’à peine vingt ans, la pop-culture coréenne est-elle parvenue à gagner le monde entier ? Qu’est-ce qui, dans sa musique, ses séries télévisées, son cinéma, sa gastronomie ou son industrie cosmétique, peut bien fasciner des personnes de toutes les origines et de tous les âges ? Pourquoi est-elle devenue une nouvelle terre promise pour des millions de personnes dans le monde entier qui en apprennent la langue, s’abreuvent de vidéos et se passionnent pour son histoire et ses traditions ?

Dans ce livre, ils sont treize à partager ce rêve, du Chili à Israël en passant par la France, les États-Unis et, bien sûr, la Corée.

L’auteur :

Passionnée par la pop-culture et ses fans, Ophélie Surcouf découvre les séries coréennes en 2009. C’est le début d’un coup de foudre qui la pousse à partir vivre à Séoul pour y dévorer des bols de kimchi et travailler en tant que journaliste freelance. Elle a participé à la création du magazine K-Society, qui décrypte la culture coréenne, et a écrit plusieurs articles sur le pays dans de grands médias français.

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Ancien blog

Mon avis :

Quand Benjamin Joinau m’a demandé si je voulais découvrir « Pourquoi la Corée ? » en Service-Presse, j’ai sauté de joie. J’adore cette maison d’édition qui offre une vision réaliste et authentique de la Corée à travers de beaux livres, très accessibles (notamment la collection Cahiers de Corée que j’apprécie beaucoup), que l’on veuille découvrir la Corée et sa culture ou en apprendre davantage telle une immersion au cœur du pays du Matin Calme.

Ce livre m’a fait replonger dans le temps. J’ai commencé à m’intéresser à la Corée et à sa culture en 1999 quand j’ai entendu une chanson de Fly To The Sky. Si j’ai survécu au collège et au lycée, c’est grâce à la musique et aux livres. Phobie scolaire, début de harcèlement, la musique a été mon refuge. Ecouter de la K-Pop ou parler de la Corée ont suscité des réflexions, « elle est bizarre »… Pour tous, j’étais vu comme un extraterrestre, c’était si incongru à l’époque tout ce qui touchait à la Corée et à l’Asie en général.

Quand je vois comment la K-Pop est perçue maintenant, qu’on a les clips de BTS diffusés à la TV, les CD de BlackPink, BTS…, les cosmétiques mais aussi les Instituts de Coréen. C’est tellement dingue par rapport à quand j’ai commencé à m’y intéresser.

Je ne me suis jamais considérée comme une fan de K-Pop (seconde génération), j’ai succombé à certains packagings de CD, d’OST, je regarde beaucoup de dramas, j’écoute beaucoup de K-Pop mais je ne suis jamais allée aux concerts ou autres événements sur la capitale.

Ma passion pour la culture coréenne m’a permis d’être Community-Manager bénévole pour l’association Kachi To Korea, une expérience qui bien qu’à distance m’a beaucoup apporté durant toutes ces années pour une débutante. J’ai pu être en relation et échanger avec d’autres personnes aimant la Corée et sa culture. Pour la première fois, on m’avait donné ma chance, moi qui ne parle pas un mot de coréen.

Impossible de ne pas avoir de coup de cœur quand derrière les apparences, les expériences bonnes ou mauvaises se dévoilent une autre facette du pays du Matin Calme ! 

Internet permet à la culture coréenne d’avoir une visibilité mondiale et ce même dans les pays où la TV est interdite. Dans une Corée où tout peut être possible, si on accepte l’envers du décor, on peut être amené à faire des projets médiatisés pour peu qu’on parle coréen.

Etre étranger en Corée peut faire vivre des expériences incroyables et sans forcément devoir se justifier avec des diplômes…

Partez avec Benjamin Joinau à la découverte de la K-Food vu par un étranger, comment un enfant adopté a découvert ses origines grâce à la K-Pop, l’histoire de la censure du manhwa, les origines de la musique américaine en Corée, comment la Corée est devenue le leader de l’e-sport, qu’est-ce que le « han », pourquoi le système de la K-Pop ne peut fonctionner qu’en Asie, l’attitude des fans durant les concerts, cette hystérie qui doit impressionner tout étranger, soutenue par les agences mais aussi des comportements extrémistes…

On comprend le sens du « pali-pali » à travers des exemples de la vie quotidienne, comment la compétition et la pression sociale pousse des jeunes à se suicider et comment monte la colère quand un étranger réussit alors que les Coréens sacrifient tout pour tenter d’y parvenir.

On découvre l’envers du décor avec Nathalie et Nunaya, où derrière l’image d’une Corée de stars et de paillettes où tout est contrôlé, se dissimule les suicides, les viols, les scandales… Des portraits de personnalités authentiques à l’inverse des artistes de la K-Pop qui doivent montrer une façade de perfection, un produit sexualisé au physique parfait, aux voix qui révèlent des entraînements sans relâche, une compétition féroce, des coups bas et des amitiés artificielles, tout pour l’image que l’agence veut donner aux médias et aux fans. Les stars de la K-Pop n’ont pas le droit de vivre des relations amoureuses et si un scandale éclate, les garçons auront plus de chance d’être excusé contrairement à leurs homologues féminins à qui on ne pardonne rien. Les erreurs impardonnables restent les scandales (drogues, sexe…) comme ce fut le cas ces dernières années, mettant des groupes en pause, le temps de faire oublier les faits.

Vous découvrirez la K-indie, qui essaie de maintenir sa place face à la K-Pop, une Corée entre traditions et modernité, le monde de la danse, un univers caché où des artistes brisent les codes et proposent des créations originales. Comment la K-Pop au Chili a bouleversé des gens dans un pays machiste, combien les fans sont prêts à dépenser pour le merchandising de la K-Pop, comment un pays sexiste avec les femmes défend les opprimés à travers leurs stars… Comment la K-Pop est devenue une arme pour lutter contre l’injustice et les droits légitimes pour son pays et ses habitants, comment la K-Pop est devenue un commerce lucratif…

Pour certains, la K-Pop est synonyme de révolution, la course aux diplômes pour obtenir le visa pour rester en Corée, comment de mauvaises expériences peuvent faire de votre séjour un enfer, les différences d’amour entre un Coréen et une étrangère, une culture où le viol est banal. Lire la suite

Passions Londoniennes (Intégrale) d’Aurélie Depraz

Les histoires d’Alexander, Jay et James réunies dans une intégrale, pour ceux qui préfèrent avoir tous les tomes en un.

Résumé :

Trois romances historiques de style « Régence », trois voyages au cœur de l’Angleterre du début du XIXe siècle… et trois histoires d’amour qui vous transporteront, aux côtés d’Alexander, de Jay et de James, des bals, salons mondains et autres plaisirs aristocratiques de Mayfair aux dangers des bas-fonds de l’East End, des grandes réceptions au palais Saint James aux pires cachots de la prison de Newgate, des verts pâturages du Kent aux paisibles campagnes du Somerset, et du théâtre de Drury Lane au pavillon royal de Brighton !

Pour en savoir plus (bonus, coulisses et cartes…)

Disponible sur Amazon.

Précisons que ses romans sont à prix très doux et disponibles avec l’abonnement Kindle Unlimited et Amazon Prime.

L’auteur :

Née à Paris en 1987, Aurélie Depraz écrit depuis sa plus tendre enfance où au fil des ans elle s’est découvert une passion pour l’histoire, pour la photographie, pour la littérature, pour les voyages dans des contrées reculées…

Aurélie Depraz vit à Bordeaux et est depuis peu auteur à plein temps.

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Mon avis :

La trilogie « Passions Londonienne » a été un gros coup de cœur. Rare sont les auteurs qui exploitent autant le contexte historique où tourbillonnent des personnages dans des histoires où on ne s’ennuie pas une seule seconde.

Vous n’avez peut-être pas vu sur mon blog mes chroniques sur ces magnifiques histoires, petit rappel :

Alexander (tome 1) :

Londres, 1819.

Alexander, Comte d’Ashford doit s’occuper de Jade, une jeune débutante qui n’a pas froid aux yeux. Connu pour sa séduction, l’arrivée de Jade dans sa vie de débauché va bouleverser son quotidien et son opinion sur le mariage.

Il est son tuteur, ils sont irrémédiablement attirés l’un par l’autre…

Jusqu’où ira cet amour interdit ?

https://leboudoirdulivre.wordpress.com/2020/07/03/alexander-daurelie-deprazpassions-londoniennes-1/

Jay (tome 2) :

Londres, 1819.

Jay Stenson a grandi loin du faste dans lequel il évolue actuellement. Détenteur de son propre empire qu’il a su bâtir en partant de rien, il n’a d’autres désirs que d’insérer sa sœur Elisa dans la bonne société, ce que cette dernière ne voit pas d’un bon œil. Pour cette mission ardue, il va faire appel à Amanda Keat qui va prendre Elisa sous son aile. Mais Jay ne va pas rester longtemps insensible au charme d’Amanda Keat dont les opinions sur le monde vont être l’occasion de belles joutes verbales.

Leur amour résistera-il aux règles de la bienséance britannique ?

https://leboudoirdulivre.wordpress.com/2020/08/11/jay-daurelie-depraz-passions-londoniennes-2/

James (tome 3) :

Angleterre, 1819.

Aylana doit trouver quelqu’un pour pouvoir l’introduire auprès du roi afin d’en appeler à sa clémence pour sauver son frère John dont la vie ne tient qu’à un fil. Malgré un différend dans leur jeunesse, Alana va devoir demander cette faveur à James Eastlake dont la réputation sulfureuse n’est pas déméritée quel que soit le prix à payer.

Une passion ardente dans un soupçon d’érotisme va éclore…

Il avait tout… Elle n’avait rien…

Il était tout… Elle n’était rien…

Entre amour et honneur que choisiront-ils ?

Aurélie Depraz dresse le portrait de deux êtres qui s’aiment d’un amour interdit par les convenances de la société britannique.

https://leboudoirdulivre.wordpress.com/2020/08/17/james-daurelie-depraz-passions-londoniennes-3/

Si vous aimez les romances historiques, si vous aimez apprendre de vos lectures, si vous avez aimé Bridgerton et les romans Aventures & Passion de J’ai Lu et les romans sur la Régence, nul doute que vous succomberez aux charmes ravageurs d’Alexander, Jay et James qui auront du mal à choisir entre amour et devoir…

 

 

Au pays des eucalyptus d’Elizabeth Haran

Résumé : 

Quand, en 1910, Nola Grayson, une jeune préceptrice en avance sur son temps, quitte l’Angleterre pour rejoindre les terres hostiles et inhospitalières d’Australie, elle sait qu’elle aura fort à faire pour trouver sa place. Parviendra-t-elle à trouver le bonheur par-delà les océans ? Une saga digne des meilleurs romans de Tamara McKinley et Sarah Lark.
Nola Grayson est une jeune préceptrice en avance sur son temps. Mais, en 1910, la bonne société londonienne ne veut pas d’une enseignante aux méthodes pédagogiques jugées subversives. Ne prône-t-elle pas, entre autres, l’émancipation de la femme ?

Aussi, quand Nola se voit proposer un poste à des milliers de kilomètres de chez elle, en Australie, décide-t-elle de tenter l’aventure. Pleine d’optimisme.

Mais, une fois arrivée sur l’île continent, elle déchante. Les habitants de cette partie reculée du bush attendaient un instituteur. Quelle n’est donc pas leur surprise de voir débarquer une femme…

Nola parviendra-t-elle à s’imposer dans cette terre dure et inhospitalière ?

Et à trouver le bonheur ?

L’auteur :

Elizabeth Haran, née à Bulawayo, en Rhodésie (actuel Zimbabwe) en 1954, rejoint l’Australie à l’âge de 10 ans. Elle vit avec sa famille à Adelaïde et est l’auteure de 14 romans publiés dans dix pays dont l’Australie et l’Allemagne, où ils sont des best-sellers.

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Mon avis :

C’est le premier roman d’Elizabeth Haran que je lis et quelle belle découverte ! Et la couverture est juste sublime. L’auteur a le don de nous faire voyager, de nous faire découvrir toute la beauté et la richesse de l’Australie à l’époque des pionniers, on découvre la vie dans ce pays, sa dureté, ses problèmes liés à la sécheresse et les retombées économiques qui en découlent pour les exploitants qui doivent lutter pour survivre. Véritable coup de cœur pour Nola, cette jeune femme incomprise dans son pays, admirée en Australie… Merci Mylène pour ce bel envoi.

Londres, 1910.

Nola a été encore une fois licenciée de son travail de préceptrice dans la bonne société anglaise.

A l’agence de placement, on lui propose une place d’institutrice dans une exploitation de bétails en plein bush australien. Une aubaine pour Nola qui n’arrive pas à garder une place à cause de ses idées et méthodes peu conventionnelles.

C’est donc pleine de bonne volonté qu’elle part vers une nouvelle vie loin du confort auxquelles elle est habituée.

Sauf que son employeur s’attend à trouver un homme.  Comment celui-ci réagira-t-il face à la venue de Nola ?

L’arrivée de Nola ne passera pas inaperçue, celle-ci n’ayant plus ses affaires emportées par le courant et étant couverte de boue.

Sa rencontre avec Monsieur Reinhart sera mémorable surtout quand celui-ci a menti sur l’état du domaine. Tout comme le régisseur Galen Hartford qui voit d’un mauvais œil une femme, qui plus est une citadine débarquer en plein outback australien, un endroit où les femmes se comptent sur les doigts d’une main.

C’était sans compter sur sa ténacité à prouver à la gent masculine son adaptation dans un milieu rude où l’eau est une denrée rare et où survivre est un combat contre les éléments.

Quant aux enfants, la petite Shannon l’a déjà adoptée même si Nola est offusquée que son père la traite comme un garçon. Pour Heat et Keegan, il lui faudra les amadouer tout comme les hommes du domaine.

Entre l’enquête pour comprendre les secrets que dissimulent les hommes du domaine, Nola apporte des solutions aux problèmes que rencontrent Galen. Des solutions innovantes mais qui redonnent vie et espoir à ceux qui l’ont perdu.

Reinhart arrivera-t-il à sauver l’exploitation ?

Devra-t-il la vendre aux Janus qui sont derrière les menaces qu’ils reçoivent ?

Quel mystère se cache derrière la mort d’Emilie, la défunte femme de Galen ?

Nola ressent une attirance pour Galen mais outre ses secrets, elle sait que toute relation est impossible, son contrat n’étant que d’un an.

Une femme dans un milieu d’homme a-t-elle droit au bonheur ? Lire la suite

James d’Aurélie Depraz (Passions Londoniennes 3)

Couverture-James-A.-Depraz

Ce roman est le troisième et dernier tome de la série « Passions Londoniennes » ; il peut être lu indépendamment des autres tomes, chaque histoire se suffisant à elle-même (parution des trois tomes : 2020).

Pour en savoir plus (bonus…)

Le dessous des cartes

Les coulisses

Disponible sur Amazon.

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L’auteur :

Née à Paris en 1987, Aurélie Depraz écrit depuis sa plus tendre enfance où au fil des ans elle s’est découvert une passion pour l’histoire, pour la photographie, pour la littérature, pour les voyages dans des contrées reculées…

Aurélie Depraz vit à Bordeaux et est depuis peu auteur à plein temps.

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Mon avis :

C’est avec regret que je termine la magnifique série « Passions Londoniennes » d’Aurélie Depraz. Il faut dire qu’Alexander, Jay et James ne m’ont pas laissée indifférente. C’est donc trois coups de cœur que je vous présente sur mon blog. Une série qui n’est pas sans égaler les romances historiques des maisons d’éditions.

Somerset, juin 1821.

La visite soudaine d’Alayna Shaye chez le duc du Somerset a un motif des plus délicats : que Sa Grâce intervienne auprès du roi pour sauver la vie de son frère John arrêté pour acte de luddisme est condamné à mort. Alayna va devoir revoir James, le frère du duc, la seule personne à même de pouvoir l’aider et pour cela elle doit se rendre à Londres.

James subit les bavardages incessants de sa mère dont l’unique sujet de conversation reste encore et toujours un mariage. L’idée fixe de la comtesse douairière qui sur ses onze enfants espère bien caser le cinquième même si avec son libertin de fils, elle doit utiliser les pires moyens.

L’arrivée d’Alayna va apporter une bouffée d’oxygène même si celle-ci ne s’attendait pas à subir un interrogatoire en règle de la part de la comtesse douairière, le comble étant qu’Alayna est féministe et ne voit pas le mariage comme un arrangement mais plutôt s’il ne s’agit pas d’amour de la soumission de la femme à son mari.

Ce qui amuse James pour le moins intrigué par cette jeune femme, la seule à oser tenir tête à sa mère.

La faveur d’Alayna va le pousser à se rendre chez le roi. Il faut dire qu’Alayna et lui ont un passé commun qu’elle ne risque pas d’oublier, elle qui a giflé James après que celui-ci l’ait embrassé. Une situation qui rend mal à l’aise Alayna alors que James même s’il doute de pouvoir obtenir gain de cause pour John est prêt à tout tenter.

Tous deux ont servi sous Napoléon, sauf qu’à l’inverse de James, le frère d’Aylana a fini mutilé, l’empêchant de trouver un travail ce qui peut pousser à des actes inconsidérés.

James et Alayna passent beaucoup de temps ensemble et James semble enfin avoir trouvé son alter-égo. Ayant les mêmes passions, une attirance les pousse l’un vers l’autre, tels des aimants.

Si James attire les femmes, Alayna essaie de conserver son statut de femme respectable. Si un homme peut se compromettre, elle sait qu’une femme n’a pas les mêmes égards. Lors d’une réception assez inattendue mais cruciale pour sauver son frère, quelqu’un profite de la naïveté d’Alayna et les événements s’enchaînent.

De leur passion naître la honte, celle d’une roturière qui a cru que l’amour pouvait briser les barrières… Mais deux mondes les séparent… Ce que la duchesse douairière va bien lui rappeler détruisant la bulle d’amour si fragile de James et d’Alayna.

Car pour l’honneur de la famille, la mère de James est prête à tout.

Et ce n’est pas une roturière, aux idées féministes qui va corrompre le nom si prisé d’Eastlake.

Il avait tout… Elle n’avait rien…

Il était tout… Elle n’était rien…

Entre amour et honneur que choisiront-ils ? Lire la suite

Alexander d’Aurélie Depraz (Passions Londoniennes 1)

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Ce roman est le premier tome de la série « Passions Londoniennes » ; il peut être lu indépendamment des autres tomes, chaque histoire se suffisant à elle-même (parution des trois tomes : 2020).

Pour en savoir plus (bonus…)

Disponible sur Amazon.

Précisons que ses romans sont à prix très doux et disponibles avec l’abonnement Kindle Unlimited et Amazon Prime.

L’auteur :

Née à Paris en 1987, Aurélie Depraz écrit depuis sa plus tendre enfance où au fil des ans elle s’est découvert une passion pour l’histoire, pour la photographie, pour la littérature, pour les voyages dans des contrées reculées…

Aurélie Depraz vit à Bordeaux et est depuis peu auteur à plein temps.

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Mon avis :

Plus j’avance dans les romans d’Aurélie, plus j’apprécie ses romans, serait-ce moi ou ils s’améliorent à chaque sortie ?  Je me suis régalée avec la première série de l’auteur, j’ai appris beaucoup de choses et le caractère de nos deux héros a ce côté piquant et charismatique que j’adore. Serait-ce un coup de cœur ? Et oui, que dire, j’ai craqué et l’ai littéralement dévoré, que ce soit les personnages, les descriptions historiques, les personnages secondaires qu’on retrouvera en tant que personnages principaux dans les deux autres tomes… Bref, tout m’a séduit… Une lecture qui n’est pas sans me rappeler des auteurs emblématique de la romance historique.

Mars 1819, entre la France et l’Angleterre.

Alexander profite des avancées technologiques de la machine à vapeur dans laquelle il a investi sur les conseils avisés de son ami Jay.

De retour de Toscane, une lettre des avocats de son défunt ami le colonel Shaheedan lui ayant fait avancer son retour en Angleterre, Alexander est troublé.

Apprendre la mort de celui qui lui a tout appris par un cabinet d’avocat, devoir impérativement se déplacer avec une mort des plus mystérieuses loin des champs de batailles et pour finir ce testament…

Alexander Hemsworth, comte d’Ashford a hâte de retrouver ses amis au White’s, un club de gentlemans très prisé de Londres. Le lieu de tous les paris.

Passionné par les technologies agricoles et le patrimoine foncier, Alexander a toutes les responsabilités qui incombent à un propriétaire terrien. Voyageur infatigable, il suit son ami Jay dans tous ces investissements de par le monde.

Jade, la fille du colonel Shahedan est prête à partir. Deux mois qu’elle attend son tuteur introuvable, deux mois qu’elle attend son entrée dans le monde avec le désir de partir de son Devon natal où elle commence à s’ennuyer ferme avec pour seule compagnie Mademoiselle Pimsley, sa gouvernante et Suzy, sa femme de chambre.

Non qu’elle déteste la vie à la campagne mais Jade rêve d’ailleurs, d’imprévus, de voyages…

Quand Alexander apprend qu’il est le tuteur de la fille de son défunt ami, une jeune fille de 19 ans dont il doit s’occuper jusqu’à ce qu’elle se marie, son monde s’effondre.

Finie la vie de débauches et d’éternel célibataire. Lui dont la vie nocturne est connue de tous, entre débauche et luxure, s’occuper d’une débutante ?

Et comme si ce n’était pas suffisant, les femmes de sa famille notamment la redoutable comtesse douairière d’Ashford, sa grand-mère et sa sœur se liguent contre lui et décident de se mêler de la vie mondaine de sa pupille.

Quant à l’irruption de Jade, il reste bouche bée. Celle-ci n’a rien à voir avec les jeunes filles de la bonne société. Pas de minauderies, des intérêts pour le moins inhabituels pour une femme à savoir les mêmes que les siens et une beauté saisissante.

Alexander qui enchaîne les maîtresses, ne s’attachant à aucune femme malgré les remontrances de sa famille aurait enfin trouvé l’épouse parfaite si ce n’est qu’elle lui est interdite.

De bals en bals, de sorties mondaines en invitations de toutes sortes, Alexander tout comme Jade n’en peuvent plus. Au début, Jade a goûté à cette impression de liberté jusqu’à ce qu’elle s’aperçoit que les journées shopping soient aussi fatigantes et que l’emploi du temps d’une jeune lady soit aussi ennuyeux et futile.

Et son tuteur qui s’éloigne d’elle, la laissant avec sa sœur et sa grand-mère pour toute compagnie.

A vivre sous le même toit, Jade entend bien savoir pourquoi Alexander s’éloigne-t-il soudain après le baiser échangé lors d’une soirée.

Il est son tuteur, ils sont irrémédiablement attirés l’un par l’autre… Jusqu’où ira cet amour interdit ?

Avec sa réputation de débauché, Alexander pourrait perdre Jade. Lui qui ne voulait pas rentrer dans la vie routinière du mariage a trouvé la femme parfaite… Sauf qu’il s’agit de sa pupille.

Les affres de la raison passeront-elles sur celles du cœur ?

Une romance au cœur de la Régence, au plus près des convenances dans la plus pure bienséance de la noblesse britannique accompagné d’informations historiques (la piraterie, les guerres, les colonies…) qui sont la signature emblématique d’Aurélie Depraz. 

Un amour interdit peut-il s’affranchir des règles de la société ?

Mémé dans les orties d’Aurélie Valognes

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Résumé :

Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant –, s’ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Éviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d’escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie… jusqu’au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 93 ans forcent littéralement sa porte, et son cœur.

Un livre drôle et rafraîchissant, bon pour le moral, et une véritable cure de bonne humeur !

L’auteur :

Aurélie Valognes est une auteure française de littérature contemporaine.

Diplômée de l’École Supérieure de Commerce (ESC Reims) en 2006 et de NEOMA Business School en 2007 mais un autre rêve lui trotte dans la tête depuis de longues années, celui d’être romancière.

Après 4 mois d’un travail intense, son premier roman (et futur best-seller), « Mémé dans les orties » (2014) est publié en auto-édition sur Kindle Direct Publishing. En l’espace de 6 mois, plus de 20 000 exemplaires du roman sont vendus via la plateforme, suscitant ainsi l’intérêt des éditeurs.

En juillet 2014, elle publie son premier roman, Mémé dans les orties : vendu à plus de 1 000 000 exemplaires, traduit dans plus de quinze pays (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Corée du Sud, Chine, Slovénie…). La version Livre de poche devint l’un des best-sellers de l’année 2016.

Elle publie ensuite un roman chaque année de 2016 à 2020, chacun de ses romans se classant dans les meilleures ventes de l’année de parution. « Au petit bonheur la chance » fit partie des « Livres de l’Année 2018 » selon le magazine littéraire « Lire ».

Ses livres, véritables phénomènes, ont conquis des centaines de milliers de lecteurs à travers le monde.

Aurélie Valognes vit avec sa famille en France depuis 2018.

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Mon avis :

Merci à Livre de Poche pour avoir réuni les trois premiers tomes d’Aurélie Valognes dans cette très jolie valisette. J’adore toutes les goodies qui se rapportent aux romans, celle-ci est en totale adéquation avec l’univers coloré d’Aurélie Valognes. J’ai énormément de livres de cette maison d’édition, j’ai grandi avec et je suis ravie d’accueillir mes premiers feel-good dans ma bibliothèque.

A l’heure où j’écris ces lignes, je termine « Minute papillon » et chaque roman est aussi bien que le précédent, je suis ravie d’avoir découvert mes premiers feel-good en cette période de confinement et je crois que je n’aurais pas trouvé mieux qu’Aurélie Valognes pour découvrir ce nouveau genre littéraire. Les lisant dans l’ordre, il me manque le livre suivant donc ma lecture sera momentanément en pause à mon grand regret.

Ferdinand Brun, 83 ans vivait en ermite, reclus dans son appartement avec son chien pour seule compagnie. Trois ans de solitude pour ce bougon qui déteste les gens, les commères, la vie en communauté… Jusqu’à ce qu’un inconnu vienne troubler sa tranquillité et l’oblige à partir loin de sa résidence. Pour comprendre ce qui c’est passé, il faut remonter le temps et revenir un an en arrière.

Dans sa résidence de personnes âgées, il était le maître, celui qui faisait régner la terreur auprès des femmes qui s’étaient liguées contre lui, le perturbateur dont le passé et les agissements mystérieux ont troublé la quiétude des lieux.

Quand son ex-femme est morte, la guerre de toutes les femmes de la résidence contre leur leur encombrant voisin a été déclaré avec à leur tête, Madame Suarez, la concierge ou devrais-je dire la personne qui fait régner l’ordre, autrement dit un tyran au féminin.

Quand on lui annonce le décès de sa chienne Daisy, Ferdinand a l’impression que son monde s’écroule et ce n’est que le début. Sa fille, Marion envoie Madame Suarez contrôler s’il vit correctement (propreté, cuisine…) depuis qu’il a fait un séjour à l’hôpital.

Persuadé qu’il a voulu mettre fin à ses jours, le voilà obligé de faire de gros efforts pour ne pas être envoyé en maison de retraite. Comme si cela n’était pas suffisant, des nouveaux voisins ont pris leurs quartiers avec leur fille Juliette, une enfant précoce qui prend le malin plaisir de s’inviter chez lui pour le repas de midi.

Pour respecter le chantage de sa fille, il doit voir une autre de ses voisines, une vieille dame new-génération qui a un emploi du temps aussi chargé que celui d’un ministre.

Au fil des jours, Ferdinand va s’ouvrir aux autres et se soucier d’eux.

Ferdinand aurait-il trouvé une famille de cœur ? Lire la suite

Une vie entre les pages de Cristina Caboni

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Résumé :

Sofia Bauer, ancienne bibliothécaire et relieuse à ses heures perdues, vit à Rome. Son couple bat de l’aile et la jeune femme sent peu à peu sa vie glisser entre ses doigts. Passionnée de livres anciens, elle rentre un jour dans une librairie et s’y voit offrir un vieil ouvrage contre la promesse de le remettre en état. Elle ignore alors qu’elle est à l’aube d’une aventure rocambolesque, qui va lui ouvrir les portes du passé et la réconcilier avec le présent.

Tandis qu’elle s’attelle à la restauration de l’ouvrage, Sofia tombe en effet sur une lettre manuscrite, dissimulée entre les pages. Celle-ci est signée de la main de la relieuse originale du livre, une certaine Clarice von Harmel, ayant vécu à Vienne au début du XIXe siècle, à une époque où cette profession était encore réservée aux hommes. Une femme qui semble s’être battue pour son indépendance et sa liberté, la payant au prix fort, et a dissimulé son message telle une bouteille à la mer dans l’océan du temps. Elle y évoque un fascinant secret que Sofia n’aura alors de cesse que de mettre au jour, aidée en cela par Tomaso Leoni, fameux chasseur de livres rares et expert en graphologie…

Page après page, indice après indice, le couple mène l’enquête à travers l’Europe et redonne une voix à Clarice, dont le courage et la détermination serviront de guides à Sofia pour reprendre sa vie en main…

Une ode au pouvoir des livres, mais aussi au courage et à la force des femmes…

L’auteur :

Apicultrice en Sardaigne, Cristina Caboni partage son temps entre ses abeilles et l’écriture. Ses livres sont tous d’énormes succès en Italie et en Allemagne. Après « Le Parfum des sentiments » et « Le Jardin des fleurs secrètes », « Une vie entre les pages » est son troisième roman publié aux Presses de la Cité.

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Mon avis :

Merci NetGalley pour cette lecture qui m’a transporté dans l’univers des livres anciens.

Clarice von Harmel termine la reliure d’un livre en y apposant le symbole familial hérité par sa mère, son dernier cadeau avant qu’elle ne meure.

Maintenant, elle est une relieuse… Sauf que ce métier comme d’autres lui est interdit car elle est une femme.

Après une rencontre insolite, Sofia a retrouvé cette étincelle, celle qui l’avait quitté depuis qu’elle était devenue une femme au foyer. Son mari, à force de reproches avait réussit à lui faire abandonner tout ce qui la rendait heureuse. A commencer par son métier de bibliothécaire. Il a suffit d’un gala de charité et de voir un livre très ancien pour amener Sofia à réfléchir à tout ce qu’elle a perdu par amour.

Un amour qui n’est plus depuis longtemps et dont elle ne prend conscience qu’en cet instant.

Il suffit d’un lieu, d’une rencontre pour changer votre vie. Ce jour-là, dans la librairie de son enfance, un livre va changer sa vie. Celui de Christian Fohr, une première édition en allemand qui va l’attirer et la faire renouer avec sa passion.

Au cours de la restauration de ce livre, Sofia va découvrir dans un renfoncement, l’histoire d’une jeune femme Clarice von Harmel. Le début de son histoire qui commence à Vienne en 1804.

C’est ainsi que Sofia va découvrir l’histoire d’une orpheline issue d’une famille très aisée que l’Eglise a tenu en laisse, prisonnière dans une cave sous le prétexte que sa tante ne pouvait pas diriger seule sa vie.

La vie de Clarice vire au cauchemar et c’est dans sa prison qu’elle va découvrir une issue lui permettant d’aller dans la cave voisine. C’est dans cette même cave qu’elle apprendra le métier de relieuse auprès d’un maître relieur qui la prend sous son aile.

Clarice a dissimulé l’histoire de sa vie et un secret dans trois ouvrages de Christian Fohr et Sofia est bien déterminée à découvrir quel secret peut en avoir cette jeune femme qui l’intrigue et quel est son lien avec Christian Fohr.

Aidé de Tomaso, un expert en graphologie qu’elle ne cesse de rencontrer, Sofia s’engage dans une quête extraordinaire.

De Vienne à Rome, c’est à Londres que le secret de Clarice et Christian se dévoile.

Le secret d’un amour interdit par la société de l’époque mais qui aujourd’hui révèle le plus extraordinaire des trésors.

Et si la rencontre de Sofia et Tomaso n’était pas une simple coïncidence mais celle de deux personnes capable de reconstituer l’histoire de Clarice von Harmel ? Lire la suite

Une vie et des poussières de Valérie Clo

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Résumé :

Mathilde n’est plus toute jeune et sa fille a décidé qu’elle serait bien mieux dans un Ephad que chez elle, où elle commence à oublier trop de choses. Le roman est le journal de Mathilde tenu pendant les mois passés dans ce nouveau monde.

Il y a les souvenirs anciens : l’enfance pendant la guerre, la disparition du père, la fuite dans la zone libre, la disparition de la mère, la planque chez des paysans. Puis le retour à la vie, alors que tout est dévasté…

Et il y a la vie au quotidien dans cet univers étrange qu’est l’Ehpad. Sa voisine de chambre qui a perdu la boule. Les voisins de table, hauts en couleurs et passablement amochés. Les aides-soignantes, et en particulier Maryline qui est un rayon de soleil… Les jours passent. Il y en a des bons, il y en a des mauvais. C’est l’heure des bilans, l’apprentissage de la solitude radicale.

Une vie et des poussières est une leçon de vie.

Valérie Clo a voulu rendre visible ce lieu (l’Ehpad) que l’on préfère ignorer.

L’auteur :

Valérie Clo vit à Meudon. Depuis plusieurs années, elle est art-thérapeute et intervient auprès de publics en grandes difficultés. En parallèle, elle est l’auteur de sept livres.

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Mon avis :

Alors que le monde plonge en plein confinement, cette lecture est encore plus d’actualité. Autant vous dire que je me suis régalée et je remercie Valérie Clo pour avoir mis en lumière les aides-soignants et les Ehpad, le personnel qui fait un travail remarquable mais dont la reconnaissance est loin d’être présente. Ce livre lu via NetGalley s’est avéré très court mais très enrichissant. C’est le premier livre que je lis sur un thème médical, ce n’est pas mon genre de lecture à part quand ça touche un sujet de société à mon sens important. Personne n’a d’excuse pour ne pas le lire et prendre conscience si ce n’est déjà fait que nos aînés méritent une vie décente avec un personnel dont les conditions de travail devraient être améliorés, dont le métier devrait être revalorisé.

L’histoire de Delphine L. qui envoie le carnet de la vie de sa patiente malheureusement décédée à une maison d’édition pour que son histoire ne soit pas oubliée.

Depuis un an, Mathilde a été placée en Ehpad parce qu’elle peut être dangereuse pour elle comme pour les autres, parce que comme beaucoup, elle perd la mémoire.

Ce qui l’a conduit là, c’est sa fille Rose, sa fille qui veut tout contrôler, tout maîtriser que ce soit son travail ou ses proches et qui en veut à sa mère d’avoir privilégié son travail au détriment de sa vie de mère

Il a suffit d’un oubli au pressing, d’une chute et Rose l’a traité d’irresponsable… Direction l’Ehpad.

Les souvenirs de Mathilde s’entremêlent avec la vie de Delphine, une aide-soignante.

Les souvenirs d’une enfant Juive de 6 ans qui alterne avec sa vie à l’Ehpad où il suffit d’une personne pour rallumer l’étincelle de sa vie !

Delphine qui malgré les conditions de travail plus que difficile apporte la joie et le dynamisme à tous les résidents.

Mathilde et Delphine, c’est l’attachement, l’amitié, la solidarité, la confiance… C’est peut-être plus, une relation de mère à fille, c’est les joies et la dure réalité des Ehpad et des conditions de travail et de la qualité des soins aux résidents.

« Une vie et des poussières » est un livre à part, je pourrais même le classer avec des romans feel-good si ce n’est l’histoire de Mathilde ; un roman qui se lit très rapidement avec des chapitres très courts qui doit être lu pour se rendre compte de la réalité des Ehpad, du sort des personnes âgées dans une société où le respect pour ses aînés n’est plus de mise. Un livre qui raconte également la Seconde Guerre mondiale vue par une enfant, la déportation de ses parents… Sa vie et aussi celle des pensionnaires avec leur excentricités (si l’on peut dire), des personnages hauts en couleur qu’on a l’impression de connaître vu sous l’humour. Lire la suite

La dame de L’Orient-Express de Lindsay Ashford

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Résumé :

Octobre 1928. Son divorce lui a laissé un goût amer. Partout, Agatha Christie croit voir le fantôme d’Archie, son ex-mari. Jusque dans les couloirs de l’Orient-Express, où elle vient de prendre place sous une fausse identité.

Elle se sait pourtant privilégiée. Le Meurtre de Roger Ackroyd l’a rendue célèbre. Et rien ne l’oblige à rester en Angleterre pour écrire son dixième roman.

Elle a trente-huit ans. À bord de ce train mythique qui doit la mener à Istanbul, elle fait la connaissance de deux femmes, Nancy et Katharine. Elles aussi cachent leur passé.

La première fuit un mari violent. La seconde part rejoindre son futur époux sur un site de recherches archéologiques. Et c’est à Ur, en Mésopotamie, qu’un drame se noue… aux répercussions inattendues.

Inspiré d’un épisode méconnu de la vie d’Agatha Christie, La Dame de l’Orient-Express explore l’amitié féminine forgée par les épreuves partagées et le pouvoir des secrets.

L’auteur :

Titulaire d’un master en criminologie, Lindsay Ashford a été reporter pour la BBC avant de signer des articles pour nombre de quotidiens anglais. La plupart de ses livres sont consacrés aux aventures de la psychologue médico-légale Megan Rhys. « La Dame de l’Orient-Express », son sixième roman a été traduit dans dix pays.

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Mon avis :

Merci à Mylène des Editions Archipel pour cette lecture qui fait connaître à ses lecteurs une partie méconnue de la vie d’Agatha Christie. Mention spéciale pour ce roman qui s’avère très féministe. J’étais très intriguée par ce roman étant une fan des œuvres d’Agatha Christie et j’ai été agréablement surprise par la manière dont Lindsay Jane Ashford a écrit cette histoire dans un mélange de fiction et de faits réels, on apprend beaucoup de choses sur Agatha mais énormément sur la vie des femmes (femmes seules avec enfants, adultère, violences…). A l’aube du féminisme, ce roman dépeint une histoire de force et de courage où l’amitié entre femmes peut surmonter tous les obstacles. A cette époque où la femme n’avait pas encore certaines libertés, on découvre leur envie et leur peur d’entreprendre des voyages qui pour elles seront sources de libertés retrouvées et d’un nouveau départ.

J’ai voulu ne pas trop en dire, pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire d’Agatha Christie et afin que les lecteurs puissent s’immerger complètement dans la vie d’Agatha Christie.

En 1928, Agatha et Archie Christie ont divorcé, Agatha décide donc d’embarquer à bord du célèbre et non moins mythique Orient-Express sous une fausse identité goûtant à un certain anonymat tandis qu’elle suscite les questions de la part de la presse sur sa mystérieuse disparition.

Son divorce n’en reste pas moins présent, Agatha a la sensation de voir son ex-mari partout.

Lors de son périple, elle fait la connaissance de Nancy et Katharine qui fuient également leur passé. La première est victime de violences conjugales tandis que la seconde rejoint son mari sur un site de fouilles archéologiques. 

Bien plus qu’un roman, une invitation au voyage dans L’Orient-Express où se mêlent luxe et traditions anglaises, dans une ambiance so british ! 

Agatha Christie saura-t’elle élucider les zones d’ombres entourant ses amies ?

Un long voyage aux saveurs inédites où les amitiés se tissent et les secrets se dévoilent !

La reine du crime se dévoile tandis que celle-ci conservera toujours sa part d’ombre et de mystère.

Oscillant entre journal de bord et enquête, cette aventure similaire à celle de ses romans permet à ses lecteurs de partir à la découverte de l’énigmatique reine du crime ! Lire la suite