La filière de Philippe Sands


Lire le précédent livre « Retour à Lemberg » qui est beaucoup cité dans ce livre.

Résumé :

Membre convaincu du parti nazi dès 1923, aveuglément soutenu par son épouse Charlotte, Otto von Wächter a rapidement intégré l’élite hitlérienne, devenant notamment, au début de la Seconde Guerre mondiale, gouverneur de Cracovie en Pologne, puis gouverneur du district de Galicie, dans l’ouest de l’Ukraine actuelle – deux territoires qui furent le théâtre de l’extermination des Juifs. En 1945, après la défaite du Reich, il parvient à fuir, se cache dans les Alpes autrichiennes avant de rejoindre Rome et le Vatican, qui abrite l’une des principales filières d’exfiltration des nazis vers l’Amérique du Sud. C’est là qu’il trouve la mort, en 1949, dans des circonstances.

Comment a-t-il pu se soustraire à la justice, de quelles complicités a-t-il bénéficié ?

A-t-il été réduit au silence ?

Intrigues politico-religieuses, espionnage, traque et vie cachée d’un criminel, décès énigmatique, dévotion filiale et passion amoureuse, secrets d’alcôve et trahisons : faisant la lumière sur le parcours incroyable d’un haut dignitaire nazi en fuite, l’enquête méticuleuse de Philippe Sands dresse un tableau saisissant de l’échiquier politique à la fin de la Seconde Guerre mondiale et à l’aube de la guerre froide.

Une passionnante enquête à rebondissements, une traque échevelée au cœur des archives et des souvenirs. Florent Georgesco, Le Monde.

Pour en savoir plus :

Dossier pédagogique sur Otto Wächter

L’auteur :

Juriste international franco-britannique spécialisé dans la défense des droits de l’homme, Philippe Sands est aussi professeur de droit à l’University College de Londres et écrivain. Il collabore régulièrement aux magazines « Vanity Fair » ainsi qu’à la « New York Review of Books » et intervient fréquemment sur BBC et CNN.

Rejoignez-le ici :

Instagram

Twitter

Mon avis :

Merci William pour ce livre que j’attendais avec tellement d’impatience. Gros coup de cœur pour ce livre qui se déguste lentement savourant chaque information distillée au fil des pages. La qualité de ce texte, les recherches, les sources, l’écritures sont passionnants rendant cette histoire la plus complète et détaillée possible. Personnellement, je pense qu’il vaut mieux commencer par le précédent livre de l’auteur puisque celui-ci le mentionne régulièrement, je l’ai plus vu dans la continuité de « Retour à Lemberg ». J’ai noirci des pages et des pages au fil de ma lecture, tellement on apprend des choses méconnues. Ma passion pour la Seconde Guerre mondiale est toujours aussi enivrante et enrichissante. 

Ce livre de 500 pages environ comporte un peu plus de 80 pages complétant une enquête minutieuse et passionnante (notes, sources, bibliographie, table des matières, index…).

Philippe Sands entraîne ses lecteurs dans une enquête sur Otto Wächter et sa mort des plus mystérieuses. Au fil de ses recherches, l’auteur brosse un portrait de toutes les personnes de l’entourage d’Otto et l’importance de sa femme dans sa fuite vers l’Amérique du Sud.

De la Seconde Guerre mondiale à la Guerre Froide, entre passé et présent, l’auteur dévoile le fil rouge de son enquête à travers le monde pour rencontrer des proches des Wächter, des témoins, des spécialistes et utiliser des documents lui permettant de retracer l’histoire d’un homme insaisissable. Articles, films, documentaires, podcast… Ce livre rappelle l’énorme travail réalisé par Phillipe Sands sur Otto von Wächter grâce à l’aide d’Horst Wächter, l’un de ses fils détenteur des journaux intimes et de la correspondance de sa mère Charlotte von Wächter. Un fils qui tout au long du récit défendra ce père méconnu tout comme l’a fait sa mère tout au long de sa vie.

Charlotte a une importance non négligeable dans la vie d’Otto, de sa rencontre avec celui qui deviendra son mari à ses opinions politiques allant jusqu’à lui autoriser ses liaisons. Une femme de caractère, très indépendante qui vouait un amour inconditionnel à son mari et sachant utiliser son réseau de personnalité mondaine pour aider son époux dans sa fuite.

L’origine de ce livre, les raisons qui ont poussé l’auteur à s’intéresser à ce haut dignitaire nazi en particulier, la jeunesse d’Otto, sa vie familiale, son ascension dans le IIIème Reich, la fin de la guerre, sa fuite pour échapper à ses crimes et sa mort des plus mystérieuses aboutissant aux nombreuses hypothèses sur la mort de ce criminel de guerre dont Philippe Sands apporte la conclusion d’une enquête hors norme. Lire la suite

1939-1945 : L’Allemagne nazie (Le fil de l’histoire raconté par Ariane et Nino, la Seconde Guerre mondiale 3)

A partir de 8 ans.

Résumé :

Entrée en guerre contre l’Allemagne en 1939, la France reconnaît sa défaite en 1940 par la voix de son nouveau dirigeant, le maréchal Pétain qui entre en collaboration avec les Allemands.
Mais un autre militaire, le général de Gaulle, appelle les Français à résister. Le pays sort finalement vainqueur en 1945.

Nino n’a pas très envie d’affronter Léo-Mathis et sa bande au Laser Game… Car ces derniers sont sûrs de leur force ! Ariane lui fait remarquer que l’Allemagne nazie, qui se sentait si puissante, a tout de même fini par perdre la Seconde Guerre mondiale… Un conflit qu’Ariane et Nino vont présenter d’une manière inédite, en expliquant comment chaque pays vécut la guerre, avec ses propres particularités. Un album, un pays. Ici l’Allemagne, prise dans la folie nazie par désir de revanche…

S’inviter dans l’Histoire pour en raconter les grands moments incontournables, voilà le parti pris d’Ariane et Nino. En partant toujours du réel d’aujourd’hui, ces livres permettent aux enfants de se sentir concernés par l’Histoire. Le scénariste Fabrice Erre est docteur en Histoire et professeur d’histoire-géographie, ces livres sont donc de véritables outils pédagogiques en lien avec le programme scolaire.

Scénariste :

Fabrice Erre est docteur en Histoire et professeur d’histoire-géographie, ces livres sont de véritables outils pédagogiques en lien avec le programme scolaire.

Rejoignez-le ici :

Compte Facebook

Instagram

Twitter

Illustrateur :

Sylvain Savoia est un dessinateur-graphiste-illustrateur résolument éclectique.

Après un rapide passage à l’Institut Saint-Luc à Bruxelles, il cofonde en 1993 le mythique Atelier 510 TTC avec quelques amis passionnés.

À partir de 2004, Sylvain Savoia adopte encore un nouveau style, plus orienté « jeunesse » afin de mettre en images les souvenirs d’enfance de la scénariste Marzena Sowa dans la série « Marzi ». Plusieurs fois nommée à Angoulême, « Marzi » devient une série très populaire y compris en Pologne et récolte de nombreux prix. À ce jour, « Marzi » a été traduite dans plus d’une dizaine de langues.

Parallèlement à la réalisation de ses albums de bande dessinée, Sylvain Savoia œuvre fréquemment dans la publicité, l’illustration d’affiches, la communication et les livrets de formation professionnelle.

Sylvain Savoia a reçu en 2020 le grade de Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres.

Rejoignez-le ici :

Compte Facebook

Instagram

Infos complémentaires :

Site officiel

Mon avis :

Second tome du coffret sur la Seconde Guerre mondiale, je me demande juste si je vais apprendre quelque chose sur l’Allemagne nazie. Sûrement que oui vu tout ce que j’ai appris avec les deux autres tomes.

On retrouve Nino et sa peur face à un redoutable adversaire, un peu comme l’Allemagne qui de conquérante s’avouera vaincue en 1945 non sans avoir semé un règne de peur, de déportations et de morts.

Comment un homme comme Hitler a pu soulever tout un peuple et utiliser la propagande pour le rallier à ses idéaux de pureté raciale ?

C’est ce qu’explique Ariane à son frère Nino en commençant par les raisons du commencement de la guerre. Les alliances, le traité de non-agression avec l’URSS, l’Anschluss, la Pologne qui subira un lourd tribut, le Blitzkrieg, l’occupation de pays neutres comme le Danemark et la Norvège,  la Bataille de France, l’attaque de Pearl Harbor, la Shoah, mise en place de la Solution FInale, déportation dans les camps de concentration, extermination des homosexuels, slaves, Juifs, Tziganes…, réseaux de résistance, attentats, bataille de Stalingrad, opération Gomorrhe…

L’Allemagne capitule le 8 mai 1945 et le monde découvre l’horreur de la Solution Finale.

Le procès de Nuremberg, la dénazification, le Vergangenheitsbewältigung, le mur de Berlin, la réunification, les chasseurs de nazis, les ghettos… Beaucoup de sujets sont abordés comme autant de pistes à creuser pour en savoir plus et enrichir ses connaissances.

Plus de six millions de juifs sont morts durant la Seconde Guerre mondiale et 7 millions d’Allemands.

A la fin de l’ouvrage, le dossier pédagogique comprend les portraits des personnages importants, le nazisme, la Shoah…

Un tome très complet sur la montée du nazisme et sa chute !

L’enfant qui décida de suivre son père à Auschwitz de Jeremy Dronfield

Résumé :

Un jour de 1939, les nazis font irruption au domicile de Gustav. Parce qu’il est Juif, il est déporté à Buchenwald avec son fils Fritz. Là, débute une épreuve inimaginable : la faim, le froid, les humiliations et la violence deviennent leur seul horizon. Puis, on annonce à Gustav qu’il est transféré à Auschwitz. Tous les déportés savent que c’est un aller sans retour, un nom qui résonne comme une condamnation à mort. Malgré tout, Fritz refuse de quitter son père et demande à partir avec lui.

Dans ce camp où l’humanité et l’espoir n’ont pas leur place, une seule chose préserve Gustav et Fritz : l’amour entre un père et son fils. Un amour infini, plus fort que l’horreur du monde.

Basé sur le journal secret tenu par Gustav pendant sa captivité, ce livre raconte leur incroyable histoire. Un récit de courage et de survie au cœur de l’enfer.

Une histoire vraie, puissante et magnifique.

Heather Morris, auteur « Le tatoueur d’Auschwitz » et « Le voyage de Cilka ».

L’auteur :

Jeremy Dronfield vit en Angleterre où il a publié plusieurs romans et biographies historiques salués par la critique. « L’enfant qui décida de suivre son père à Auschwitz » est un best-seller mondial inspiré d’une histoire vraie et désormais traduit dans une quinzaine de langues.

Rejoignez-le ici :

Site officiel

Page Facebook

Instagram

Twitter

YouTube

Mon avis :

J’ai reçu ce livre et je ne pourrais jamais assez remercier Eric Poupet pour cet envoi et la magnifique traduction d’Ariane Maksioutine. Un livre qui m’a tout de suite captivé, sa couverture (non sans rappeler celle du « Tatoueur d’Auschwitz »), son résumé, son histoire incroyable… Le témoignage rare et précieux d’un père et d’un fils, ensemble jusqu’au cœur de l’enfer concentrationnaire… Avec l’espoir de s’en sortir et de se retrouver… Ensemble…

A l’image de beaucoup de livres, de témoignages des rescapés des camps de concentrations, il est difficile, voire quasi impossible d’en préférer un plutôt qu’un autre car ces récits font partie du « Devoir de Mémoire » et sont inclassables. La seule chose qui peut faire qu’on soit marqué différemment est la manière dont l’histoire est racontée et la richesse des informations transmises. Ce livre en fait partie, rare sont ceux qui sont aussi riches de telle sorte qu’on a l’impression d’être le témoin indirect des protagonistes. Une histoire saisissante et bouleversante.

Ce récit a la particularité de montrer l’histoire des Kleinmann et du sort des Juifs en Autriche vue de l’intérieur, du quotidien avec la misère, les restrictions, les répressions, les arrestations, les déportations massives, le contexte géopolitique, le sort des réfugiés à l’étranger, le sort des handicapés… A eux deux, Fritz et Gustav ont survécu à cinq camps de concentration. On ne ressort pas indemne d’une telle lecture, si intense, si prenante, si inimaginable… Un témoignage grâce aux entretiens avec Fritz et Kurt et surtout aux carnets de Gustav qui ont survécu à l’Holocauste, preuves irréfutables de tout ce qu’ils ont traversé ensemble.

D’une rare émotion et d’une richesse inouïe, ce livre mériterait d’être adapté en film.

Il fait partie de ces livres à part, ces lectures qui vous marquent à vie, c’est pourquoi il est dans ma « Sélection 2021 » car ce fut un véritable coup de cœur.

Avant-propos de Kurt Kleinmann.

Autriche, janvier 1945.

Fritz a survécu à toute l’horreur de l’Holocauste, aux différents camps de concentration et aux marches de la mort… Avec son père Gustav… Jusqu’à cette opportunité de s’évader… Seul.

Vienne, 7 ans plus tôt.

Gustav Kleinmann vit modestement avec sa femme Tini et leurs quatre enfants. Maître-artisan tapissier, Gustav et sa famille sont témoins du sort funeste des Juifs aux mains des nazis.

L’Autriche a cédé et ne s’est pas battue, laissant le champ libre aux nazis dont le but est d’étendre leur domination.

Il faut beaucoup de courage pour qu’une mère à l’image de Tini fasse l’impossible pour sauver ses enfants.

Edith fut la première à partir après avoir réussi à obtenir un visa pour l’Angleterre.

Le 10 septembre 1939, Fritz est arrêté par la Gestapo, Gustav parti le libérer sera lui aussi arrêté et déporté.

Agé de 16 ans, Fritz est déporté à Buchenwald où il retrouve son père. Un miracle au sein même de l’enfer. Ennemis étrangers car judéo-polonais, ils sont assignés à la carrière sous la surveillance de leurs tortionnaires.

Gustav arrive à consigner sur ses carnets tout ce qu’il a vécu et vu de ses yeux, preuves de l’inhumanité et de l’inimaginable. La faim, le froid, la misère, la violence, la mort, les tortures…

Tini avait bien pressentie l’horreur qui allait s’abattre sur les Juifs et sa famille. Sans nouvelle de sa fille et avec ses deux enfants, sans ressources, leur survie ne tient qu’à un fil.

Pressentant toujours le pire, Tini va se séparer de son plus jeune enfant, Kurt en le faisant partir pour les Etats-Unis tandis que sa fille Edith récemment mariée subit le sort réservé aux réfugiés étrangers, à savoir l’internement pour son mari, lui qui a déjà connu les camps de Dachau et de Buchenwald est considéré comme un potentiel espion nazi.

Le 9 juin 1942, Tini et sa fille Herta sont déportées et assassinées.

Quand son père est sur le point d’être déporté à Auschwitz, Fritz demande à partir avec lui. Ensemble envers et contre tous.

Combien de sacrifices ont fait les Kleinmann au seul titre d’être Juifs ? Lire la suite

Marlene d’Hanni Münzer (Honigtot 2)

MUNZER_MARLENE.indd

Résumé :

Prix Skoutz du meilleur roman historique.

Qui est la véritable Marlene ?

Munich, juillet 1944. L’une des femmes les plus recherchées du IIIe Reich se tient face à la maison bombardée de Deborah et de son frère, qu’elle croit enfouis sous les décombres. Si elle était arrivée la veille, Marlene aurait pu les sauver.

Mais qui est au juste cette femme ? La veuve d’un notable connu pour ses sympathies nazies ? Une actrice en devenir ? Une résistante ?

Marlene va devoir prendre l’une des décisions les plus difficiles de sa vie : épargner la vie de millions de personnes… ou sacrifier l’homme qu’elle aime.

Dans le sillage d’Au nom de ma mère, ce roman s’attache au destin d’une femme courageuse, confrontée aux soubresauts de l’Histoire !

L’auteur :

Née en Allemagne en 1965, Hanni Münzer conquiert le public dès 2013 avec une première tétralogie qui s’écoulera à plus 350 000 exemplaires. « Au nom de ma mère » a été traduit en 14 langues. Ses livres sont publiés dans 17 pays dont l’Italie, l’Espagne, la France, la Pologne, les Pays-Bas, la République tchèque, la Hongrie, la Turquie et la Chine Un film est en préparation. Son dernier roman est promis à un réel succès et se concentre sur une famille juive. Elle vit en Haute-Bavière en compagnie de son mari et de leur chien.

Rejoignez-là ici :

Site officiel

Page Facebook

Mon avis :

Après avoir terminé « Au nom de ma mère », j’ai pu enchaîner sur la suite grâce à NetGalley qui propose « Marlene » en service presse. Heureusement, ma demande a été accepté et j’ai pu dévorer ce dernier tome qui a été un gros coup de cœur et mon « Roman du mois ». 

L’histoire de Marlene reprend après la fin d’Au nom de ma mère.

Tout commence en juillet 1935. Fille du baron von Dürkheim, Marlene menait une vie normale pour une fille de 16 ans jusqu’à ce que les gens commencent à changer et à choisir leurs camps.

En 1944, Marlene croyant son amie Deborah et son frère morts sous les bombardements meurtriers de Berlin rejoint la résistance polonaise. Avec Trudi qui s’est incrusté, Marlene est censé rejoindre Varsovie mais son voyage s’annonce plus mouvementé et dangereux que prévu.

Pour réussir sa mission, Marlene va devoir éviter à son amie Trudi qui rêve d’être une espionne, de s’attirer des ennuis.

Dès le début, on sait ce qu’est devenu Marlene après la guerre puisque comme dans le premier, c’est l’héroïne qui décide de raconter sa propre histoire, dans ce cas-ci pour publier ses mémoires. Ses amis connaissent déjà l’histoire de Deborah, à elle de leur raconter la sienne qui comme celle de son amie est incroyable.

Plus que jamais, Marlene a soif de vengeance, celle-ci va la conduire aux portes d’Auschwitz où va se jouer son destin au prix d’énormes sacrifices.

L’histoire d’une espionne qui de l’enfer luttera telle une guerrière jusqu’à assouvir sa vengeance ! Lire la suite

Au nom de ma mère d’Hanni Münzer (Honigtot 1)

nfd

Résumé :

Étudiante en médecine à Seattle, Felicity reçoit un appel : Martha, sa mère, a disparu…

Felicity la retrouve à Rome, où cette dernière s’est enfuie après avoir découvert une longue lettre écrite par sa propre mère, Deborah, fille d’une diva qui connut son heure de gloire aux débuts du IIIe Reich.

Une lettre qui va plonger Felicity dans une quête douloureuse.

Alternant passé et présent, ce roman mêle amour et trahison, colère et culpabilité, péché et expiation, autour d’un secret de famille courant sur quatre générations.

« Un arrière-plan historique fouillé, une intrigue prenante et des rebondissements ! » Denkzeiten

L’auteur :

Née en Allemagne en 1965, Hanni Münzer conquiert le public dès 2013 avec une première tétralogie qui s’écoulera à plus 350 000 exemplaires. « Au nom de ma mère » a été traduit en 14 langues. Ses livres sont publiés dans 17 pays dont l’Italie, l’Espagne, la France, la Pologne, les Pays-Bas, la République tchèque, la Hongrie, la Turquie et la Chine Un film est en préparation. Son dernier roman est promis à un réel succès et se concentre sur une famille juive. Elle vit en Haute-Bavière en compagnie de son mari et de leur chien.

Rejoignez-là ici :

Site officiel

Page Facebook

Mon avis :

Un énorme merci à Mylène, des éditions Archipel pour ce magnifique et si beau service presse. Malgré cet excellent premier tome, mon gros coup de cœur est allé pour sa suite, « Marlene » qui bien que très dur est juste exceptionnel. Ce que je trouve remarquable dans cette duologie est la mise en avant de la résistance polonaise au travers de femmes aux  destins et aux courages extraordinaires ! Les romans sur les guerres sont mon addiction, ma passion, ma valeur sûre, certains sont plus profonds, plus aboutit car on sent quand des auteurs s’investissent et font des recherches poussées.

Seattle, Etat de Washington, mai 2012.

En partance pour Kaboul, Felicity apprend que sa mère a disparu. Grâce aux effets de sa défunte grand-mère, Felicity la retrouve à Rome afin d’y trouver la vérité sur son histoire et celle de Déborah, sa mère, une diva qui a dissimulé un secret à sa descendance.

Un carnet écrit hébreu est tout ce qui reste de la vie de Deborah. A eux d’écouter son histoire qui démarre à Munich en novembre 1923.

L’histoire de ses parents, celle d’un éminent docteur juif et de la célèbre cantatrice Elisabeth Malpran à Munich. Leur bonheur d’avoir des enfants est de courte durée quand le nazisme arrive jusqu’à eux.

Quand les persécutions contre les Juifs se font de plus en plus menaçantes, le couple décide de s’enfuir.

Sans nouvelles de son mari, Elisabeth devient la prisonnière de l’Allemagne et n’aura de cesse de se sacrifier pour sauver ses enfants de la barbarie nazie quitte à s’allier avec les plus hauts dignitaires allemands.

« Au nom de ma mère », le roman poignant des sacrifices d’une famille juive au plus près du IIIème Reich ! Lire la suite