Vers des jours meilleurs de Tamara McKinley/Ellie Dean (La pension du Bord de Mer/Beach View Boarding House/Cliffehaven 7)

Résumé :

Le 7ème volet de la saga  » La pension du Bord de mer  » dont le succès va croissant.

Mai 1942.

Quand l’avion de Kitty, jeune aviatrice, s’écrase au sol, elle est transportée d’urgence à l’hôpital de Cliffehaven, sur la côte sud-est de l’Angleterre.
Immobilisée le temps de sa longue convalescence, elle se morfond et s’inquiète : ses blessures l’empêcheront-elles de voler à nouveau, elle qui souhaite par-dessus tout servir sa patrie
Bientôt, la jeune femme apprend que son frère, pilote de chasse dans la RAF qu’elle aime et admire, a été abattu aux commandes de son appareil et qu’il est porté disparu…
Par chance, elle emménage à la pension du Bord de mer, tenue par l’énergique Peggy Reilly. Grâce à elle et aux autres locataires, qui toutes y font régner chaleur et gaieté, Kitty retrouve peu à peu le goût de vivre…

L’auteur :

Née à Launceston (Tasmanie) en 1948, Tamara McKinley émigre en Grande-Bretagne, où elle intègre un pensionnat de jeunes filles du Sussex. De « La Dernière Valse de Mathilda » (2005) traduit dans plus de 20 pays à « La Route de Savannah Winds » (2019), ses romans sont tous parus aux éditions de L’Archipel puis en Archipoche. Mère de trois enfants, Tamara McKinley vit sur la côte sud-est de l’Angleterre.

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Mon avis :

Un septième tome axé sur la place des femmes dans l’aviation et leur combat pour voler dans les airs. Un tome plus féministe, plus documenté grâce à un petit dossier explicatif sur les femmes dans l’aviation durant la Seconde Guerre mondiale en début du livre. Cette saga est mon coup de cœur absolu, chaque tome est attendu avec beaucoup d’impatience. On aimerait que cette série ne se termine jamais.

Avant de commencer cette nouvelle histoire de la pension du Bord de Mer, retour sur l’origine de l’Air Transport Auxiliary (ATA) avec des explications sur le fondement et l’importance de cette force aérienne pour faire face à la Luftwaffe et sur les membres féminins qui en tant que femmes ne furent jamais officiellement rattachées à la Royal Air Force (RAF). Issues pour la plupart de milieux fortunés et aristocratiques, ces pionnières menèrent un dur combat pour se voir le droit de voler. En 1943, elles obtinrent le même salaire que leurs homologues masculins.

12ème section de l’ATA (Cosford), mai 1942.

Kitty Pargeter et son amie Charlotte Bingham subissent les foudres de Marion Wilberforce après avoir fait des vols non autorisés pouvant menacer tous les efforts pour que les femmes aient leurs places au sein de la RAF. Freddy et Kitty ont laissé leurs parents en Argentine pour faire leurs études en Angleterre. Grâce à charlotte, Kitty a réussi à s’intégrer dans ce pays si différent du sien. Peggy Reilly se remet doucement de son hystérectomie et vaque à ses occupations avec la même énergie prenant part aux soucis de ses pensionnaires. Désormais seule avec beau-père Ron, elle doit faire face au rationnement tandis que certains dont sa sœur vit dans l’opulence.

Entre Ron et son chien en mal d’amour, sa sœur Doris toujours au centre de l’attention et son inquiétude pour l’une de ses pensionnaires, Peggy a fort à faire.

Un terrible accident met à mal les rêves de Kitty qui va devoir affronter de durs combats mais elle pourra compter sur l’aide de Peggy Reilly et de ses locataires pour lui redonner goût à la vie.

Malgré l’absence des hommes, la joie et la bonne humeur règne dans la pension du Bord de Mer qui accueille un nouveau pensionnaire et compagnon de jeu pour Daisy avec le rejeton du chien de Ron.

Les mauvaises nouvelles n’arriveront pas à assombrir la vie à Cliffehaven tandis que les bombardements se font plus nombreux et meurtriers.

Kitty arrivera-t-elle à trouver le bonheur après son dur combat ?

Un avenir est-il possible quand tout s’écroule ?

Kitty trouvera-t-elle la force pour mener le plus dur combat de sa vie ? Lire la suite

L’héritage de Cassandra d’Anna Jacobs (The Swan River 3)

Résumé :

1866.

Dans l’arrière-pays australien où il n’a pas plu depuis des mois, Maia et Xanthe Blake, 27 ans, les deux plus jeunes sœurs de Cassandra, abordent un tournant de leur vie.

Maia, gouvernante dans une grande propriété, est amoureuse de son patron. Mais ce dernier est marié… Xanthe, de son côté, n’a qu’une idée : retrouver son Lancashire natal.

Les jumelles, qui ont toujours vécu ensemble, parviendront- elles à prendre la bonne décision ? Quitte à accepter d’être séparées ? À moins que l’arrivée d’un inconnu ne chamboule leurs projets…

Le destin, parfois, peut vous transporter bien au-delà vos rêves.

« Avec cette saga se déroulant à l’époque de l’Australie des pionniers, Anna Jacobs signe une série mémorable ! » goodreads.com

L’auteur :

Anna Jacobs, née en 1941, a grandi dans le Lancashire avant de partir vivre en Australie. Auteure de plus de 80 romans, elle a reçu l’Australian Romantic Book of the Year Award en 2006.

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Mon avis :

Merci Mylène pour le final si attendu de « The Swan River saga ». C’est un réel coup de cœur pour  cet auteur qui transporte ses lectrices dans un voyage vers des contrées lointaines. C’est aussi ma dernière lecture 2020 en tant que partenaire des éditions L’Archipel. Quelle année de belles découvertes, j’ai pu découvrir en avant-première de belles pépites comme ce fut le cas avec cette magnifique saga.

Février 1886. Xanthe rêve de retourner dans son Lancashire natal Son seul regret : devoir se séparer de sa jumelle Maia qui est ravie de sa vie en Australie.

Gouvernante sur une grande propriété, Maia est secrètement amoureuse de Conn Largan, leur employeur, un condamné de justice. Malgré le fait que celui-ci est marié.

Pandora est revenue à Outham et gère les biens ainsi que le grand magasin avec son mari Zachary . Elle envoie l’héritage à ses trois sœurs restées en Australie par l’intermédiaire d’un gentilhomme irlandais de confiance Ronan Maguire.

De son côté, Pandora attend son premier enfant tout en gérant avec son mari un commerce à Outham ce qui ne l’empêche pas de s’inquiéter pour ses sœurs dont les nouvelles se font rares de par la distance qui les séparent. C’est par l’intermédiaire de Ronan, un ami de Conn que Pandora va remettre la part d’héritage à ses sœurs. 

Ronan McGuire a hâte de rendre visite à Conn en Australie sans se douter que le destin va mettre sur sa route Xanthe dont leurs points communs pour les voyages et sa soif d’aventures n’aura de cesse de l’étonner.

Maia et Xanthe, bien que jumelles ont des aspirations différentes, à l’heure des choix pour leurs avenirs, sauront-elles prendre à leur tour leurs destins en main quitte à être séparées ?

Après « Le Destin de Cassandra » et « Cassandra et ses sœurs », le dernier volet d’une saga mettant en scène deux sœurs en quête de liberté et d’indépendance dans l’Australie du XIXème siècle.

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La Cité du Lotus rose de Kate McAlistair (La trilogie du Lotus rose 2)

Résumé :

Le deuxième volet de l’enivrante saga du Lotus Rose, dans la lignée des grands romans de Sarah Lark (Le Pays du nuage blanc) et de Tamara McKinley (La Dernière Valse de Mathilda).

Après plusieurs années, Jan retrouve la trace de Jezebel à Singapour. Fuyant ses ennemis, celle-ci s’est réfugiée avec sa petite fille dans une mission religieuse. Tout à leur nouveau bonheur, les jeunes gens décident d’unir leurs destins et annoncent un grand mariage. Jezebel goûte enfin à la sérénité.

Pourtant, le jour des noces, la jeune mariée est abordée par deux hommes, mandatés par le baron Von Rosenheim, le cruel trafiquant d’opium auquel elle fut un temps fiancée. Celui-ci veut récupérer le légendaire médaillon Sher-Citâ, que Jezebel a conservé, malgré les funestes souvenirs qui s’y rattachent. Pour ce faire, il est prêt à tout.

Espérant éloigner son épouse de cet homme machiavélique, Jan décide de l’amener à New York. Après un tumultueux voyage sur un cargo chinois, Jezebel découvre une ville éblouissante, à mille lieues de tout ce qu’elle a connu jusqu’ici. Ils s’installent à Long Island, dans une superbe demeure au bord de l’océan, avec l’espoir de goûter une paix méritée.

Mais l’Inde ne cesse de se rappeler à eux. Revenu sur cette terre fascinante, le jeune couple est à nouveau guetté par le danger…

L’intrépide Jan saura-t-il libérer Jezebel de son passé ?

Une passionnante saga, dans la lignée des grands romans de Sarah Lark (Le Pays du nuage blanc) et de Tamara McKinley (La Dernière valse de Mathilda).

L’auteur :

Kate McAlistair est mariée et mère de deux enfants.

Fascinée par son grand-père qui vécut en Asie, elle se passionne pour l’Inde, la Malaisie et la Chine.

Après des études d’art et de cinéma, elle travaille un temps comme graphiste puis se lance dans l’écriture.

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Mon avis :

Dire que je n’étais pas impatience de lire la suite des aventures de Jezebel et Jan serait un gros mensonge. Je suis passionnée par cette trilogie très addictive, le seul petit reproche encore que ce n’est pas grave du moins pour moi, c’est le rappel des différents événements du tome précédent, peut-être prévus pour ceux qui ne l’ont pas lu et commencent par ce livre. Ce roman clôt dans une certaine mesure l’histoire de Jezebel et Jan, la malédiction du Sher-Cita va enfin révéler tous ses secrets. Quant au troisième et dernier tome, il est centré sur Lián alias Rose-Leela et se déroule à l’aube de la Seconde Guerre mondiale. Il me faudra faire preuve de patience pour découvrir son histoire étant donné que je préfère attendre sa sortie au format poche.

28 août 1921. Singapour.

A 20 ans, Jezebel est à la croisée de son destin. Jan Lukas, son premier amour est parvenu à la retrouver dans une mission religieuse de Singapour.

En proie à l’incertitude et en ayant eu sa magnifique fille, Jezebel ne sait pas comment accepter le bonheur maintenant qu’il est à sa portée.

Jan acceptera-t-il la fille de Charu, son meilleur ami ?

L’heure des non-dits et des explications a sonné ponctué par leur mariage hâtif ne faisant qu’augmenter les doutes de Jezebel.

Heureuse, elle pourrait enfin l’être après avoir vécu tant d’épreuves si son passé ne venait encore la rattraper.

Jan et Jezebel sont-ils condamnés à vivre leur amour malmené par la malédiction du Sher-Citâ ? Lire la suite

La Vallée du Lotus rose de Kate McAlistair (La trilogie du Lotus rose 1)

Résumé :

Amour et émotions aux Indes britanniques…

1918. A 16 ans, Jezebel Tyler, orpheline issue de l’aristocratie anglaise, part aux Indes rejoindre son tuteur, un archéologue de renom. Ce dernier compte la marier au baron von Rosenheim, qui financera en échange ses recherches liées à une cité disparue.

A bord du luxueux paquebot qui la mène à Calcutta, Jezebel se lie d’amitié avec Olga Obolenski, duchesse russe fantasque, qui lui enseigne les usages du monde, tout en l’encourageant à prendre en main sa destinée. Durant la traversée, elle fait aussi la connaissance de Jan Lukas, un aventurier dont le charme la subjugue.

Au Bengale, elle découvre, prise au piège, que son futur époux est un trafiquant d’opium notoire, au caractère tyrannique. Et malgré la délicatesse du prince Charu, qui la courtise, elle ne parvient pas à oublier Jan…

Des jardins de Darjeeling aux mangroves des Sundarbans, ce premier volume de la trilogie du Lotus rose met en scène une héroïne attachante, déterminée à échapper au carcan de son éducation pour vivre sa vie.

Une passionnante saga, dans la lignée des grands romans de Sarah Lark (Le Pays du nuage blanc) et de Tamara McKinley (La Dernière valse de Mathilda).

L’auteur :

Kate McAlistair est mariée et mère de deux enfants.

Fascinée par son grand-père qui vécut en Asie, elle se passionne pour l’Inde, la Malaisie et la Chine.

Après des études d’art et de cinéma, elle travaille un temps comme graphiste puis se lance dans l’écriture.

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Mon avis :

Cette trilogie me faisait de l’œil depuis très longtemps et j’ai profité de la sortie du tome 2 en poche pour acheter le tome 1 (les gros pavés ne me font pas peur) et démarrer enfin cette saga qui s’annonce encore un coup de cœur. L’auteur a un style limite poétique qui nous fait voyager dans une Inde aux mille facettes avec une héroïne qui ignore tout du monde extérieur, de la vraie vie et qui par ses premiers amours et son sens du devoir va connaître un destin des plus extraordinaires fait de sacrifices, d’amours, de désillusions ayant pour seul lien un mystérieux médaillon synonyme de malédiction. Au fil des pages, ce n’est que saveurs, odeurs, couleurs dans un voyage exotique avec une histoire d’amour unique dans des décors aussi somptueux qu’inattendus. Je suis subjuguée par le talent de Kate McAlistair, les nombreuses descriptions permettent d’imaginer les pays traversés par Jezebel comme si on y était avec une précision sublime.

Une trilogie digne des plus grands auteurs à l’image de la magnifique série « Tatiana » de Paullina Simons, les romans de Kate Furnivall, « Sashenka » de Simon Montefiore, Linda Holleman, et autres romans sur la Révolution russe qui n’a pas été sans me rappeler l’histoire d’Olga Obolenski qui m’a beaucoup touché. Parmi les plus récents, je pourrais citer les séries de Sarah Lark, d’Anne Jacob et Tamara McKinley.

25 octobre 1918. Angleterre.

La comtesse Jezebel Tyler est arrachée au pensionnat de Chelseahall House devenu son foyer depuis la mort de ses parents quand elle avait 5 ans. Son tuteur, archéologue et peu désireux de s’encombrer d’une enfant l’a envoyé dans ce pensionnat afin qu’elle reçoive l’éducation qui sied à son rang tout en suivant un enseignement avant-gardiste pour une femme comme les sciences…

Dès ses 16 ans, celui-ci l’envoie en Inde pour rencontrer son futur mari. Elle ne comprend pas les raisons de cette décision précipitée et surtout n’être qu’une marchandise vendue au plus offrant par son tuteur dont la précipitation à la marier lui semble bien mystérieuse.

C’est sur l’Albatros que Jezebel va faire la connaissance de la duchesse Olga Obolenski, une aristocrate russe en exil et de Jan Lukas, un aventurier qui est loin de la laisser indifférente amenant avec lui la liberté et ce désir de profiter de chaque instant de la vie.

Tandis qu’Olga lui montre l’envers du décor, caché par l’opulence des premières classes, Jezebel prend conscience d’être issue d’un milieu favorisé même si elle n’a pas sa liberté et que toutes les classes sociales se battent à leur manière pour améliorer leur vie.

Avec l’annonce de la fin de la Première Guerre mondiale, Jezebel se laisse séduire par Jan dont le comportement est l’opposé de l’éducation qu’on lui a inculqué depuis son enfance.

Amoureuse, elle l’est et ce dès le premier regard mais elle sait que cet amour est éphémère et prendra fin à son arrivée à Calcutta.

Au moins aura-t-elle connu le bonheur avant de retourner à la réalité des convenances de son monde.

Quant à son futur fiancé, c’est un homme des plus vils, le baron von Rosenheim est très influent de par ses différents trafics notamment celui de l’opium.

Piégée par cet homme auquel on ne peut rien refuser, Jezebel pourra compter sur ses amis, un mystérieux hindou follement épris d’elle, Olga et Jan…

L’histoire de Jezebel et celle de Jan est liée à un mystérieux médaillon, le Sher-Cîta. Tout comme celui-ci est le lien avec la fameuse cité du Lotus que le tuteur de Jezebel espère découvrir et ce à n’importe quel prix.

Jezebel pourra-t-elle échapper à l’homme le plus puissant et redouté de l’Inde ? Lire la suite

L’avenir nous appartient de Tamara McKinley/Ellie Dean (La pension du Bord de Mer/Beach View Boarding House/Cliffehaven 6)

Résumé :

« Sans nul doute l’un des meilleurs épisodes de la série. Un roman sans temps mort. » goodreads.com

Fuir, pour mieux se reconstruire…

Londres, 1942. Pour fuir les bombardements autant qu’un mari violent, la jeune Ruby Clark est contrainte de quitter la ville. Direction Cliffehaven, sur la côte sud-est de l’Angleterre.

Sur place, Ruby tente de se reconstruire et d’oublier l’épisode traumatisant qu’elle a vécu. Par chance, elle trouve vite un emploi d’ouvrière dans une usine d’armement et une chambre chez l’habitant. Mais le couple qui l’héberge n’a rien d’hospitalier, et Ruby craint de vivre un nouveau calvaire.

Heureusement, Peggy Reilly la prend sous son aile et l’accueille à la pension du Bord de mer, où règnent chaleur et gaieté. Ruby reprend alors espoir.

Se pourrait-il même que se dessine la perspective d’un avenir radieux ?

L’auteur :

Née à Launceston (Tasmanie) en 1948, Tamara McKinley émigre en Grande-Bretagne, où elle intègre un pensionnat de jeunes filles du Sussex. De « La Dernière Valse de Mathilda » (2005) traduit dans plus de 20 pays à « La Route de Savannah Winds » (2019), ses romans sont tous parus aux éditions de L’Archipel puis en Archipoche. Mère de trois enfants, Tamara McKinley vit sur la côte sud-est de l’Angleterre.

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Mon avis :

La pension du Bord de Mer c’est comme retrouver une grande famille après une longue séparation ! Je suis ravie de découvrir ce sixième tome qui promettait un tourbillon d’émotion et dont le thème est encore et malheureusement d’actualité aujourd’hui. Il me tarde déjà de découvrir la suite et d’en savoir plus sur Doris qui même sous ses airs hautains cache une réelle détresse. Malgré un sujet difficile, l’amour est au rendez-vous… et pimente ce tome !

East-End, Londres, 1942.

Ruby Clark subit les sautes d’humeur de son mari Raymond. Un mari qui magouille toutes sortes d’affaires crapuleuses. Tout comme sa mère, Ruby a succombé à ses charmes et est tombé dans le piège des apparences.

A Cliffehaven, la vie suit son cours. Peggy tente de cacher un secret des plus inattendus tandis qu’elle essaie de tenir sa pension d’une main de maître tout en restant la confidente de ses pensionnaires.

A force de s’occuper des autres, Peggy pourrait bien y laisser sa santé.

Quant à sa sœur Doris, elle va semer la zizanie dans la relation de son fils Anthony avec Suzy, l’une des pensionnaires de Peggy.

Les bombardements s’intensifient tandis que Rita a trouvé un endroit où recommencer sa vie. Suite à un événement douloureux, Doris s’installe à la pension du Bord de Mer avec pertes et fracas.

L’ambiance joyeuse et tout l’attrait de la pension perd de son éclat avec la venue de ce dragon dans le domaine de Peggy.

Pourquoi Doris a-t-elle décidé de quitter le confort et le luxe de sa maison pour vivre dans la pension du Bord de Mer auprès de personnes qu’elle dénigre ? Lire la suite

Quand on ne peut oublier de Tamara McKinley/Ellie Dean (La pension du Bord de Mer/Beach View Boarding House/Cliffehaven 5)

Résumé :

Décembre 1941. Le père de Sarah Fuller, 19 ans, dirige une plantation d’hévéas en Malaisie où sa famille mène une vie de riches colons. Mais le conflit qui secoue l’Europe gagne cette partie du monde.

Quand les Japonais commencent à bombarder Singapour, Sarah est contrainte de quitter sa famille et son fiancé Philip, pour aller trouver refuge en Angleterre. La longue traversée vers le vieux continent s’annonce périlleuse. Or, ni elle ni sa sœur Jane – qui requiert une attention constante – ne savent si leur grand- tante, censée les accueillir est toujours de ce monde…

Arrivées à Cliffehaven, sur la côte sud-est de l’Angleterre, les deux sœurs s’installent à la pension du Bord de Mer, tenue par la chaleureuse famille Reilly.

Bien décidée à participer à l’effort de guerre, Sarah se voit offrir un surprenant travail… Qui ne lui permet toutefois pas d’occulter les mauvaises nouvelles en provenance de Singapour et la crainte de ne jamais plus revoir Philip…

L’auteur :

Née à Launceston (Tasmanie) en 1948, Tamara McKinley émigre en Grande-Bretagne, où elle intègre un pensionnat de jeunes filles du Sussex. De « La Dernière Valse de Mathilda » (2005) traduit dans plus de 20 pays à « La Route de Savannah Winds » (2019), ses romans sont tous parus aux éditions de L’Archipel puis en Archipoche. Mère de trois enfants, Tamara McKinley vit sur la côte sud-est de l’Angleterre.

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Mon avis :

Je suis toujours impatiente de découvrir les romans de Tamara McKinley mais plus encore quand il s’agit de la saga familiale « La pension du Bord de Mer » qui m’a conquise depuis le premier tome. Un énormissime merci à Mylène de me permettre de découvrir la suite des aventures des pensionnaires de Cliffehaven. J’ai un énorme coup de cœur pour tous les tomes de cette série.

Malaisie, décembre 1941.

Sarah Fuller devrait se réjouir de la demande en mariage de Philip Tarrant. Un si beau parti, s’intéresser à une simple fille secrétaire, fille du directeur d’une plantation d’hévéas. Un conte de fée terni par la guerre qui menace de frapper de plein fouet leur havre de paix.

La Seconde Guerre mondiale n’épargne personne et pas les Fuller.

A la pension du Bord de Mer, Peggy Reilly profite de son nouveau-né, Daisy qui a déjà conquis toute la maisonnée. Un miracle en ces temps troublés.

Cette fois-ci, c’est à Cordélia Finch et à ses proches que l’on s’intéresse. Notre septuagénaire haute en couleur dévoile son passé quand la Malaisie et Singapour sont pris d’assaut par les Japonais. Les liens familiaux et l’importance de la famille sont le sujet de ce roman.

Pris dans l’urgence, Sarah et sa sœur Jane vont embarquer sur un bateau en partance vers l’Angleterre. Séparées de leur famille, elles se lancent dans un dur et long voyage vers un pays inconnu dont elles ignorent tout.

A Cliffehaven, la vie suit son cours malgré les bombardements qui font de plus en plus de ravages. La mobilisation est redoutée par Peggy et la perte du travail de Jim fait craindre le pire.

Peggy arrivera-t-elle à faire front face aux nouvelles qui menacent de briser l’équilibre précaire de leur famille ?

Les sœurs Fuller sauront-elles s’adapter à leur nouvelle vie loin du luxe qu’elles ont connu ? Lire la suite

La prophétie de la cathédrale de Christophe Ferré

Résumé :

« Il n’y a de Dieu qu’Allah l’Unique. » Par quel mystère la profession de foi de l’islam figure-t-elle sur un vitrail de la cathédrale de Chartres retraçant la vie du Christ ?

Lors de fouilles dans la crypte de cette cathédrale, Mary, jeune et brillante étudiante, est sur le point de mettre au jour une découverte archéologique majeure.
Mais cette révélation risque de bouleverser l’équilibre du monde. Un rempart de haine et de sang se dresse alors pour empêcher la jeune femme d’accéder à cette vérité qui dérange.

Quelle est l’étrange congrégation prête à supprimer tous ceux qui s’approchent trop près du secret ? Quel est ce secret ? Une prophétie vieille de plusieurs siècles est-elle en train de s’accomplir ?

L’auteur :

Christophe Ferré est un auteur dramatique, romancier et scénariste français. Il est la plume de plusieurs personnalités politiques et artistiques. Grand Prix de la nouvelle de l’Académie française, Christophe Ferré est romancier et auteur dramatique. Outre ce thriller paru en 2015 sous le titre « La Révélation de Chartres », on lui doit « La Petite Fille du phare » en cours d’adaptation pour la télévision et « Mortelle Tentation » (L’Archipel, 2018 et 2019).

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Mon avis :

Merci à Mylène pour l’envoi de ce livre et pour la dédicace. Passionnée par les romans ésotériques, j’en attendais beaucoup sur ce roman notamment sur le contexte historique qui ne m’a pas déçu. Quelques coquilles (inversion de mots) n’empêchent heureusement pas la lecture de ce roman dont le travail de recherches historique est impressionnant. Une question à l’auteur  : « A quand un autre roman basé sur l’histoire de notre patrimoine ? »

En pleine nuit, Mary Kennedy, étudiante archéologue a accepté un mystérieux rendez-vous au sein de la cathédrale de Chartres. S’ensuit le meurtre du spécialiste des mystères que dissimule ce monument historique après lui avoir divulgué qu’elle était l’Elue qui dévoilerait la vérité…

Sur un secret caché jusqu’ici aux yeux du monde. Suspectée par la police, Mary part en cavale afin de prouver son innocence.

Aidé d’un historien, Mary part à la recherche du mystère de la cathédrale de Chartres tandis qu’un homme à moto la pourchasse tuant tous ceux qui ont trahi une sombre congrégation prête à tout pour protéger leur secret.

Trois jours, trois meurtres, trois verrières occidentales, trois porches, trois vierges, trois mages…

L’histoire de la cathédrale de Chartres n’a jamais été aussi proche de dévoiler tous ses secrets ! Lire la suite

Un coin d’azur pour deux d’Emma Sternberg

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Résumé :

Lorsqu’elle tombe sur cette annonce, Isa saute sur l’occasion. Qu’a-t-elle à perdre ? Son petit ami l’a plaquée et son nouveau job lui fait regretter la librairie où elle travaillait.
À son arrivée en Italie, la jeune femme découvre qu’elle a été engagée par une célèbre romancière qui, à plus de 70 ans, a besoin d’aide pour rédiger ses mémoires.
En l’écoutant lui raconter sa vie dans sa superbe villa surplombant l’azur, Isa comprend que la vielle dame s’en veut d’avoir laissé filer son amour de jeunesse.

Et s’il n’était pas trop tard ?

Le feel-good de l’été, qui nous transporte à Capri, dans le sillage de deux héroïnes en mal d’amour.

 » À déguster pour les vacances.  » Maxx

 » Envie de passer l’été à Capri ? Recrute assistante pour travaux de documentation et de lecture. « 

L’auteur :

Née à Hambourg en 1979, Emma Sternberg a étudié la communication avant de travailler à la radio. « Cinq amies au soleil » est son premier roman a connu un vif succès en France, succès dont « Un coin d’azur pour deux » pourrait le dépasser.

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Mon avis :

Hommage à mes racines italiennes, j’ai passé un très beau moment grâce à ce feel-good même si certains aspects semblent assez irréalistes (liens entre deux personnes qui ne se connaissent pas et qui dès le premier échange se sentent comme avec une connaissance de longue date, Isa qui est un parfait poisson dans l’eau dans une demeure qu’elle ne connaît pas de même que Capri, à l’encontre de son caractère où tout doit être prévu, réfléchi, un échange de regard avec un policier…).

Si on y réfléchit deux secondes, certes il y a trop d’éléments qui arrivent à point nommé dès le début du roman pour favoriser Isa face à l’inconnu mais pour autant, j’ai été tellement prise par l’histoire d’Isa, par l’écriture et le style de l’auteur qui m’a envoûté, que tous ces éléments ne me paraissaient pas importants au final.

Presque un coup de cœur, principalement dû à ces éléments trop évidents, il n’empêche que c’est le roman idéal pour cet été ! Un gros merci à Mylène pour cette très belle découverte ! 

Isabella a tout perdu, son petit-ami, son travail à la librairie, ses amies qui ont déménagé après avoir eu des enfants…

Elle qui voyait déjà sa vie toute tracée, un petit-ami, un travail passionnant, des enfants… Le foyer idéal d’une vie parfaite.

Tout a basculé quand son désir d’avoir un enfant est devenu un obstacle dans leur couple. Ayant tout essayé pour avoir un enfant, Isa et Alex vont se séparer, une décision très dure à encaisser pour Isa et encore plus quand un an plus tard elle croise son ex avec sa nouvelle compagne enceinte de jumeaux.

Ayant tout perdu même un travail plus épanouissant que celui de travailler au Paradis de la Presse, Isa postule sans grand espoir à une annonce d’assistante pour un écrivain à Capri.

C’est ainsi qu’elle, Isabella Ritter va quitter son Allemagne natale et partir vers l’inconnu… Direction Capri. Dans ce décor paradisiaque, Isa va goûter à la liberté, celle d’aller dans un endroit où personne ne la connaît, ne la jugera, ne la plaindra où elle sera entièrement libre de ses choix.

A peine arrivée, Isa se sent à l’aise et Mitzi Hauptmann dont elle connaît ses romans est une vieille dame qui la met en confiance. Ecrire ses mémoires dans un cadre aussi enchanteur va être la bulle d’oxygène dont Isa avait besoin.

Au cours de ses confidences, Isa va découvrir tous les secrets et le mystère entourant la vie de Mitzi.

De ses parents artistes, de son éducation dans un pensionnat, de ses amours, de sa peur de reproduire les mêmes erreurs que ses parents sur ses propres enfants, de sa dyslexie, de ses difficultés pour écrire ses mémoires… Grâce à Mitzi, Isa se rend compte de ce qui les rapprochent.

Et si chacune avait droit au bonheur, à une seconde chance ?

Des indices laissent à penser que le rêve d’Isa pourrait avoir des chances de se réaliser.

Sous le soleil de Capri, les histoires brisées reprennent vie et se remplissent d’amour !

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